Alors que la ménopause, et sa carence d'hormones estrogènes, provoque très souvent des insomnies, des difficultés majeures à l'endormissement, il est un certain nombre de femmes (à vrai dire minoritaires) pour qui, la « pêche »;; retrouvée, le tonus au zénith, alors que la ménopause les épuisaient tant qu'elles avaient fini par trouver un sommeil perdu depuis longtemps
, le THS rétablit si bien les choses qu'elles se retrouvent à nouveau insomniaques, comme avant leur ménopause ! Une des solutions consiste à adopter la progestérone naturelle dans la mesure où - nous l'avons vu - l'un de ses effets secondaires possible consiste en une somnolence, voire à une tendance à l'endormissement. On choisira ici une formule combinée (un comprimé de progestérone avec la dose d'estrogènes quotidienne en non-stop), sans interruption, de telle manière que la progestérone soit pris à chaque coucher. Si cette solution est inefficace il n'y a pas d'autre issue que de se résoudre à absorber « le calmant qui marchait le moins mal » avant la ménopause